[...] seules les sociétés riches peuvent se permettre de telles préoccupations environnementales.
Sous-entendu c'est un problème de second plan...
tout à fait :
dans un pays pauvre, les plus pauvres se précipiteraient pour les bouffer ces poissons.
dans un pays riches, les plus hallucinés se lamentent sur ces poissons, "êtres sentiants" morts dans d'atroces souffrances.