l'auteur peytavin n'est pas assez pointue dans ses analyses.
ce n'est pas parce que 90 % ou plus de telle ou telle violence sont commises par des hommes que 90 % des hommes commettent ces violence, tout le monde en conviendra. en réalité, c'est une toute petite minorité des hommes qui commettent ces violences, quelques pourcents, pas plus. il n'y a donc aucune justification à vouloir punir tous les hommes, à vouloir exercer sur eux des violences psychologiques pour qu'ils se comportent comme des femmes.
pourtant, il faut effectivement résoudre les problèmes de violence, détecter et mettre hors d'état de nuire les quelques dizaines ou centaines de milliers d'hommes violents. il faut cibler les coupables et laisser les autres tranquilles. il faut donc s'interroger sur d'où vient la violence, de quels types d'hommes vient la violence et agir à ce niveau là plus particulièrement, ce que ne fait absolument pas l'auteur peytavin.
je propose quelques pistes de réflexion qu'il conviendrait d'examiner, toutes ne sont peut être pas pertinentes, on ne le saurait qu'après examen, mais encore faut il les étudier :
- taille et corpulence : un homme grand et fort aura t'il tendance à abuser de sa force ou au contraire étant sûr de sa force il reste paisible en toute circonstance car personne n'ose l'agresser ?
- type de véhicule conduit s'agissant des accidents de la route, je fais confiance aux assurances pour bien connaître le sujet et en réalité pour dévoiler que l'accidentologie est plus affaire d'ancienneté dans le permis de conduire et alcoolémie plutôt que cylindrée ou nombre de chevaux du moteur.
- couleur des cheveux ou couleur des yeux.
- religion du violent : un mahométan en moyenne est il plus violent ou non qu'un chrétien, qu'un athée, qu'un bouddhiste ?...
- nationalité, origine du violent : les étrangers, les français de fraiche date, les français d'ancienne ascendance sont ils tous également violent ?
tout ce travail de connaissance de la violence n'est pas fait par peytavin, ses conclusions ne peuvent être que fausses.