Quote from: F2b on August 25, 2018, 07:58:34 AM

Très intéressant effectivement.
Après, il ne faut pas se fier qu'au classement. Par exemple, la banque postale est bien placée dans le classement par rapport aux autres banques "classiques", mais le principal problème lorsqu'il y en a eu un a été la fermeture du compte. Donc même si l'on rencontre moins de problèmes avec eux qu'avec d'autres, lorsque l'on en a un c'est un plus grave.
Je vais essayer de faire quelque chose de ces chiffres, je reviendrai peut-être poster ici si c'est concluant.

Bon, c'est pas concluant.
Notamment car il faudrait les données brutes (et beaucoup de temps, aussi). A partir des seules données de la page du lien, on ne peut pas arriver à grand chose.

Quote from: Yaplatu on August 25, 2018, 08:09:29 AM

Après c'est aussi au cas par cas, dans le sens où il faudrait quand même voir l'histoire bancaire de ces personnes qui se sont vu refuser certaines choses etc Roll Eyes

. Mais bon c'est sur que ça donne une vague idée sur quelles banques se diriger

Effectivement, ça dépend de pleins de facteurs.
Ce petit article permet tout de même de faire ressortir certaines tendances.
Et accessoirement on remarque parfois quelques trucs étranges. Par exemple la Société générale est d'après l'article la banque qui fait le plus de menaces et d'avertissements, mais ne fait pas partie de celles qui ferment le plus de comptes. La Banque postale a l'air plutôt sympa, mais semble prendre directement des mesures assez importantes si les montants sont trop gros ou les transactions trop régulières.

Quote from: jhdscript on August 25, 2018, 09:24:25 AM

Article interessant mais je reste perplexe quant a l'acceptation des cryptomonnaies par les banques francaises et euuropeene

Pour l'instant, je pense qu'il faudrait parler de tolérance plus que d'acceptation. En effet, il semble évident qu'à un moment ou un autre elles deviendront de plus en plus hostiles aux crypto-monnaies (tout en continuant à vouloir exploiter le filon, avec par exemple des cryptos bancarisées, centralisées et régulées (donc pas des vraies cryptos en fait)). Certaines, les plus conservatrices, sont déjà réfractaires à l'achat de cryptos (cf Crédit Abricole, seulement 42% de satisfaction, pricipaux problèmes : impossibilité de virer vers un exchange et fermeture de compte... plutôt radical), d'autres, plus modernes, vont vouloir exploiter le filon des cryptos à fond comme expliqué juste avant et font de leur tolérance actuelle des cyptos un argument pour récupérer des clients.

La guerre a déjà commencé.